21 avril 2005
Sale temps pour les mouches
Le nez contre la vitre, les deux mains sur le radiateur,Il erre dans son leurre, les yeux ouverts sur le vide.A genoux sur le pouf. Il reste là.Statique.Tac. Pensées distillées à l’égard de plus grands malheurs,Il sent là toute l’aigreur de son goût pour...